En fonction du contexte, des formules participatives peuvent éventuellement être envisagées.

Dans ces cas là, il est généralement précisé sur le devis que pour ce qui est du poste main d’oeuvre, la facturation sera faite « au réel » : 

« Le chantier étant effectué avec l’assistance du client, les heures seront facturées « au réel » (temps réellement passé), sans pouvoir dépasser le volume global d’heures figurant sur ce devis ».

J’ai choisi ce mode de fonctionnement car il est impossible de savoir à l’avance quelles seront l’implication effective et l’efficacité des gens que j’accompagne. Le volume d’heures indiqué correspond ainsi au temps nécessaire si nous n’étions que des professionnels rémunérés à travailler sur le chantier. C’est un prix plafond, qui correspond au cas où le client ne participerait pas du tout et où je serais amené à faire intervenir un autre professionnel avec moi.

En mode participatif, un décompte des heures passées sur chantier est ainsi effectué, décompte auquel il faut ajouter un « forfait chantier participatif » correspondant à la rémunération d’une partie du temps masqué (relevés, conception, chiffrage, gestion des approvisionnements…).